Je disais donc, première semaine de stage à Paris.
Et c'est avec tendresse que je me rappelle mes excursions à la capitale, paisible provinciale alors, avec leurs lots de stations de métro étouffantes, de changements aux couloirs sans fin , d'escaliers et de gares impraticables avec des valises toujours trop lourdes et encombrantes, de rames bondées, de visages - le mien en premier - fermés et impassibles. Et cette inquiétude face à la réalité éminente: "Non, je ne veux pas vivre à Paris". Et bim. Comme s'il pouvait en être autrement.
Cette allergie métroïdale s'est bizarrement apaisée ce week-end, en cliquant distraitement sur un lien posté par une connaissance sur facebook vers ce blog: L'inconnu du métro. Tout d'un coup ces visages fermés sont devenus terriblement sympatiques...
Un post par jour, par Marie Dinkle, nous présente l'inconnu du métro du jour, avec ses goûts, son parcours, ses avis ou son quotidien. Le tout superbement rédigé.
Et c'est avec tendresse que je me rappelle mes excursions à la capitale, paisible provinciale alors, avec leurs lots de stations de métro étouffantes, de changements aux couloirs sans fin , d'escaliers et de gares impraticables avec des valises toujours trop lourdes et encombrantes, de rames bondées, de visages - le mien en premier - fermés et impassibles. Et cette inquiétude face à la réalité éminente: "Non, je ne veux pas vivre à Paris". Et bim. Comme s'il pouvait en être autrement.
Cette allergie métroïdale s'est bizarrement apaisée ce week-end, en cliquant distraitement sur un lien posté par une connaissance sur facebook vers ce blog: L'inconnu du métro. Tout d'un coup ces visages fermés sont devenus terriblement sympatiques...
Un post par jour, par Marie Dinkle, nous présente l'inconnu du métro du jour, avec ses goûts, son parcours, ses avis ou son quotidien. Le tout superbement rédigé.
Quelques inconnu(e)s...
Jérémie
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